À cause (grâce ?…) à cet espèce d’attendrissement stupide d’homme vieillissant qui, me poussant à regarder plus en arrière qu’en avant, me fait fouiller dans les archives de ma correspondance, je redécouvre ce que j’avais oublié, le nombre « d’amis » alors inconnus avec qui je correspondais aux temps où je me malais de revues et de littérature et qui, tant bien que mal, se sont faits un nom dans le domaine des lettres. Ainsi donc, tous ces jeunes écrivains ont persisté l’essentiel de leur vie dans cette voie sans issue véritable ! Écrire pour ne pas voir la vie telle qu’elle est, écrire la vie pour l’oublier, s’user dans la mastication ruminante des mots.

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