Facebook ne se prête pas à des posts trop longs et il est difficile de fractionner à l’extrême les anecdotes. Aussi je n’en donnerai ici qu’une version abrégée, un fragment, et je demanderai à mon fidèle ami Marc Hodges d’en mettre la version longue dans un ou deux des blogs qu’il a conçu pour moi : Maurice Roman et Vie de Maurice Roman. Les rares vrais ami(e)s qui s’intéressent à mes radotages de vieillard pourront aller les trouver là et, pour l’instant, il n’y a pas foule. Qu’importe, je me suis déjà expliqué là-dessus.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog