Le désespoir de l’écriture, c’est le silence, écrire sans parvenir à atteindre un public assez large pour que sa parole soit entendue. Mais où placer la barre ? Certains disent que 200 exemplaires vendus est un succès, d’autres 1000, d’autres 2000. D’autres enfin n’attendent rien de leurs contemporains et ne visent que la postérité. Il y a une infinité d’arguments pour se leurrer soi-même et continuer, malgré tout, à noircir du papier ou des écrans d’ordinateurs.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog