Dans mes moments de doute, à la limite de la dépression, quand la météorologie me condamne à l’enfermement dans l’îlot qu’est ma maison, dans l’île qu’est Montolieu, me restent mes disques et mes souvenirs de musique comme ces Offrandes (1921) de Varese, qui, bien sûr n’était pas dans la discothèque de mon père mais que j’ai découvertes bien longtemps après dans un éblouissement presque aussi absolu que celui que j’ai eu, à 15 ans, de découvrir le Pierrot Lunaire de Schönberg (1912), tous deux datant d’avant ma naissance.

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