Je viens de terminer l'autobiographie de Cendrars "La main coupée". Il se pose sans cesse en héros, posture qui ne m'attire ni ne me convient ni ne me convainc… C'est un homme d'imagination, ce que, m'efforçant de ratisser au plus près mes restes de souvenirs, je ne suis pas. Si l'écriture n'a d'intérêt que par l'imaginaire et l'inhabituel alors je ferais mieux d'arrêter tout de suite… Pourtant je continue, malgré tout persuadé, que chacun peut retrouver quelque chose de lui-même dans le récit de vies minuscules.

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