Et pourtant je persiste, je regarde dans ma fenêtre la plaque de plomb du ciel n’y trouvent aucun des signes que j’espère, je regarde mes murs bibliothèques où je perds, peu à peu, l’envie d’aller chercher un volume, je regarde la flamme imprévisible des bûches dans ma cheminée, je regarde le plafond de mon bureau dont le blanc commence à grisonner dessinant d’étranges formes de nuages, je ferme les yeux regardant les imperceptibles mouvements du noir sur mes paupières, je m’arrête… et je retourne tapoter dans Facebook, des messages qui n’intéressent — un peu — que moi.

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